SOPK
SOPK ou syndrome des ovaires polykystiques : traité au-delà de l’infertilité Le SOPK concerne 15 à 20 % à 25 % des femmes en âge de procréer : c’est une des principales causes d’infertilité. Ses causes sont mal connues avec vraisemblablement des facteurs génétiques (il existe des formes familiales), congénitaux et aussi tels que les petits poids de naissance ou le surpoids pubertaire. Mais son association dans 70 % des cas à une insulinorésistance expose à des conséquences éventuelles sur la santé, notamment cardio-vasculaire.