Insuffisance ovarienne prématurée ou IOP ,santé et fertilité
La réserve ovarienne diminue progressivement avec l'âge, cette diminution s'accélérant à partir de 35 ans : elle devient presque nulle à 50 ans environ, ce qui correspond à la ménopause.
La réserve ovarienne diminue progressivement avec l'âge, cette diminution s'accélérant à partir de 35 ans : elle devient presque nulle à 50 ans environ, ce qui correspond à la ménopause.
SOPK ou syndrome des ovaires polykystiques : traité au-delà de l’infertilité Le SOPK concerne 15 à 20 % à 25 % des femmes en âge de procréer : c’est une des principales causes d’infertilité. Ses causes sont mal connues avec vraisemblablement des facteurs génétiques (il existe des formes familiales), congénitaux et aussi tels que les petits poids de naissance ou le surpoids pubertaire. Mais son association dans 70 % des cas à une insulinorésistance expose à des conséquences éventuelles sur la santé, notamment cardio-vasculaire.
La périménopause est marquée par une grande instabilité fonctionnelle ovarienne responsable de phases successives d’hyper et d’hypooestrogénie responsable d’irrégularités des cycles et une baisse exponentiellement rapide de la fertilité. Cependant, le risque de grossesse n’est pas nulle et nécessite le maintien d’une contraception. Comme toujours, le choix de celle-ci doit prendre en compte la sexualité de la femme et du couple, la présence éventuelle de facteurs de risque notamment vasculaire, de pathologies hormonodépendantes.
L’ostéoporose est une affection fréquente tout particulièrement chez la femme ménopausée : 25 % des femmes de + de 65 ans et 50 % des femmes de + 80 ans sont atteintes. Elle représente un risque de fracture notamment vertébrale, du col du fémur et du poignet. Elle peut aussi toucher les hommes après 65 ans.
Le recours à la PMA dans certains cas d’infertilité représente un immense espoir pour les couples. Cette PMA est un processus parfaitement encadré, volontiers long et reposant sur 5 étapes successives. Bien sûr, tout sera fait pour raccourcir au mieux la durée de ce chemin très chargé sur le plan psycho affectif, très lourd en émotions, attente, inquiétude, en espoir parfois en déception. Même si c’est essentiellement la femme qui en subit les contraintes, il s’agit bel et bien d’un parcours du couple
Les douleurs périnéales concernent 5 % des consultation de gynécologie.
Lorsqu’elles sont nociceptives, c’est-à-dire liées à une lésion des tissus ou viscères, par traumatisme ou inflammation, elles peuvent bénéficier de nouvelles techniques non invasives.
Une femme sur deux se plaint de douleurs au moment des règles encore appelées dysménorrhée : il est donc important d'en comprendre la cause et de les prendre en charge quand on sait que chez 15% des femmes elles peuvent être invalidantes et responsables d'absentéisme scolaire ou professionnel.
Les dysménorrhées peuvent être : primaires apparaissant avec les premières règles : dans la grande majorité des cas, elles sont le reflet d'un équilibre hormonal imparfait caractéristique de l'adolescence et diminueront progressivement avec le temps au fur et à mesure que l'équilibre hormonal de la femme se normalise.
La contraception du post-partum est importante pour éviter des grossesses rapprochées non désirées: en effet, l’allaitement ne constitue pas obligatoirement une contraception efficace.
Quand reprend la fonction ovarienne ?
En l’absence d’allaitement maternel, le retour de couches se situe en moyenne entre les 45 ème et 69 ème jours du post-partum et il n’y a pas d’ovulation avant le 25e jour.
Le cancer du col utérin est responsable d’environ 1100 décès par an et son pronostic se dégrade puisque le taux de survie à cinq ans est en diminution.
Il est secondaire à un infection par le papillomavirus ou HPV : il s’agit donc d’une maladie sexuellement transmissible.
Il existe près de 200 types de HPV classés à risque oncogène faible et responsables d’anomalies bénignes du col, des verrues génitales (condylomes) et des papillomes laryngés,
ou haut et responsables de développement des cancers du col ou anogénitaux ou oropharyngés.
Le retour à la fertilité après l'accouchement expose les femmes à une nouvelle grossesse, dont la prévention passe par une contraception adaptée à la vie sexuelle, aux attentes de la femme et du couple.
Elle peut don être discutée lors des consultations prénatales ou en post partum.
La grossesse et le post partum sont en effet des moments privilégiés dans la vie de la femme et du couple.